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C’est Helmut Watzlawick, un spécialiste de Casanova qui parle sur France Cul. Finkielkraut demande à Hector Obalk, ce que la peinture donne à voir. L’historien d’art lui répond que ce qui est vraiment spécial dans la peinture, c’est la jouissance d’un sens de la synthèse des choses. Il parle de ce qui se passe à l’intérieur d’un cadre.

Il dit qu’une nature morte par exemple, ce sont des choses qu’on regarde à l’intérieur d’un endroit clos, terminé, le rectangle de la toile. Il parle d’échelles distordues et du fait que la peinture n’a de commun avec le réel que le chromatisme, que la couleur, que tout le reste - texture, espace - est différent.


Jouir de la représentation des choses, c’est vrai, c’est un luxe.

 

Wittgenstein a grandi dans une maison avec sept pianos à queue de concert. Trois de ses frères se sont suicidés. En 1913, il se retire dans une cabane en Norvège, accessible à cheval seulement. Exil, certes, mais il se fait apporter à manger et on lui fait son linge. Faut pas déconner non plus, hein.

De la compassion qui régénère les cellules. Ça aussi c’est de la science. Et c’est beau. C’est très beau même.

OUI, LA SIENCE  NOUS VOLE LA POÉSIE.

DES SOURIS DOPÉES AUX GÊNES DE MÉDUSE

POUR VISUALISER LA MACHINE CELLULAIRE.

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